Coucou,
il n'est jamais trop tard pour poser des questions
Mon parcours à moi a été assez simple dans ses débuts et devient très compliqué sur la fin. Je recommençais en 2009-2010 ma deuxième master en interprétation et on n'a pas l'air de vouloir me donner mon diplôme...
Au vu de ma situation, je ne recommanderais donc pas de faire l'interprétation (0% de diplômés en juin dernier dans la section), mais le chemin avant d'en arriver là est long.
Si tu veux garder les portes ouvertes pour obtenir un master, je pense que faire un bachelier en anglais-néerlandais (ou anglais-allemand pour d'autres qui liraient) est une bonne idée. L'espagnol et l'italien dans le monde de l'interprétation sont moins demandés à l'heure actuelle, mais si tu veux te diriger vers le monde des entreprises, l'espagnol, ce n'est peut-être pas mal non plus. En Belgique, le néerlandais reste cependant un atout ! Plusieurs diplômés qui n'avaient pas le néerlandais dans leur combinaison ont suivi des cours de néerlandais au Forem après leurs études.
Dans le cas d'une passerelle vers d'autres études après les années de bachelier, la situation est assez compliquée lorsqu'on a le danois ou le russe. Donc ces langues, aussi chouette à apprendre soient-elles, ne sont peut-être pas toujours les meilleurs choix.
Liste des passerelles à l'UCL :
http://www.uclouvain.be/275071.html?from=he&etape2=1&PasserelleSens=1TL (rechercher BA-traduction et interprétation)
Le néerlandais était ma troisième langue, donc difficile de donner un avis sur le niveau des cours. Le plus important, selon moi, est de travailler peu importe le niveau que l'on a en arrivant.
Il faudrait se renseigner, mais je me demande si un diplôme de bachelier en traduction et interprétation ne permet pas d'accéder plus ou moins aux mêmes postes qu'un graduat en secrétariat-langues.
Bonne réflexion